Les questions les plus gênantes posées à une vendeuse de Loveshop
Toi aussi, raconte-nous ton entreprise.
« Ca t’ira comme un gant ma petite-fille. » C’est ce qu’a déclaré sa grand-mère quand Clara lui a annoncé qu’elle s’apprêtait à travailler dans un loveshop. Une réaction positive et encourageante. Ce n’est pas toujours le cas.
Nous avons rencontré Clara et Hélène, vendeuses et leur responsable Céline au magasin Easy-love de Charleville-Mézières. Toute la journée, elles accueillent les clients, écoutent, apportent des conseils personnalisés. Pourtant, les clichés perdurent. Nous leur avons demandé de lister les questions qu’elles entendaient le plus souvent dans leur entourage à propos de leur métier.
Avant de partir, nous avons besoin de votre soutien. Pour nous permettre d’exister encore l’année prochaine, donnez un pourboire sur Tipeee. Pour les fêtes de Noël, vous pouvez aussi offrir un de nos livres, comme le roman FDP ou Le prof parfait n’existe pas. Rendez-vous dans notre librairie pour découvrir nos autres titres.
Nos dernières conneries publiées
- Un coup de pied dans les boules (de Noël), les accidents de travail les plus cons
- On crève, 10 perles d’élève scientifiques
- 5 ans, 11 mois 29 jours, le bêtisier des profs