Les questions les plus gênantes posées à une vendeuse de Loveshop
Toi aussi, raconte-nous ton entreprise.
« Ca t’ira comme un gant ma petite-fille. » C’est ce qu’a déclaré sa grand-mère quand Clara lui a annoncé qu’elle s’apprêtait à travailler dans un loveshop. Une réaction positive et encourageante. Ce n’est pas toujours le cas.
Nous avons rencontré Clara et Hélène, vendeuses et leur responsable Céline au magasin Easy-love de Charleville-Mézières. Toute la journée, elles accueillent les clients, écoutent, apportent des conseils personnalisés. Pourtant, les clichés perdurent. Nous leur avons demandé de lister les questions qu’elles entendaient le plus souvent dans leur entourage à propos de leur métier.
Nous avons besoin de vous. Sans votre soutien financier, nous ne pourrons pas continuer l’année prochaine. Donnez-nous un pourboire sur Tipeee. Et pour les fêtes de Noël, vous pouvez aussi offrir un de nos livres, comme le roman FDP ou Le prof parfait n’existe pas. Rendez-vous dans notre librairie pour découvrir nos autres titres.
Nos dernières conneries publiées
- Les coulisses du jour des vacances de Noël à l’école
- Affaire des écoutes : Nicolas Sarkozy condamné à être attaché pendant un an à une maîtresse d’école
- Ces livres de Céline Alvarez auxquels vous avez échappé