Fact-checking : Jordan Bardella est-il victime du syndrome des prénoms qui terminent par le son [ANE] ?

Nous avons posé la question au Président de l’I.E.P.S.T.

« Le meilleur barrage contre le Rassemblement national, c’est Jordan Bardella. » La plaisanterie circule depuis ce week-end dans les rédactions parisiennes et ne ferait guère rire les cadres du parti. Dans l’entourage de Marine Le Pen, l’heure est à l’inquiétude.
Un proche de Sébastien Chenu nous confie : « On a payé à Jordan une formation de media training à 140 000 euros, et ça ne sert strictement à rien. Enfin, quand je dis “on a payé”, je me comprends. C’est le Parlement européen qui a réglé la note, mais quand même. »

Selon plusieurs responsables du parti, Jordan Bardella serait victime du “syndrome des prénoms en -ane”. Bien connue du monde enseignant, cette théorie informelle avance que les personnes portant un prénom se terminant par le son [ane], comme Jordan, présenteraient une compréhension limitée. Sont régulièrement cités en exemple les Dylan, Nolan, Kylian et même les Stéphane. En effet, pour s’assurer de la bêtise de ce dernier, il suffit de regarder les émissions de Stéphane Bern. émissions de Stéphane Bern.

Nous avons sollicité l’I.E.P.S.T. (Institut des Études sur les Prénoms venus des Séries Télévisées) afin d’éclairer cette hypothèse. Selon Jean-Bernard Pierre, son président, les conclusions sont sans appel : « Il n’existe aucun lien entre les prénoms se terminant par le son [ane] et une quelconque défaillance intellectuelle. Prétendre le contraire serait scientifiquement infondé. En ce qui concerne Jordan Bardella, en revanche, nous avons une explications. C’est juste qu’il est complètement con. »

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