Du mépris de classe aux salles de classe, le pire d’Anne Genetet

Trois petits mois, et puis s’en va.

C’était notre préférée. Anne Genetet fut ministre de l’Education nationale entre le 21 septembre et le 23 décembre 2024. Quelques années auparavant, elle était à la tête d’une agence de recrutement de domestiques pour les Français expatriés à Singapour. Sur le site de son entreprise, Anne Genetet conseillait de ne pas « embaucher pas une domestique qui a déjà travaillé pour des Occidentaux, elle risquerait de se montrer trop exigeante. »

Rue de Grenelle, Anne Genetet était comme ses prédécesseurs : elle ne connaissait rien au métier d’enseignant, n’avait aucune vision politique et bien sûr, avait mis ses enfants dans le privé. Mais Anne Genetet avait un truc en plus.
Peut-être encore plus de mépris et de condescendance que ses collègues. Peut-être une obsession du brushing parfait. Peut-être parce que c’était pour nous, la cliente idéale.

Des « helpers » aux soirées mondaines avec Bruno Retailleau, on remixe Anne Genetet.
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